" La mule blanche "

Francisco SEPULVEDA

   

 

 

FRANCISCO SEPULVEDA :

 

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      Né en 1977 à Santiago du Chili, Francisco Sepulveda vit et travaille en France.
  Etudie le dessin, la peinture et la gravure à l’Ecole des Beaux-Arts de Santiago, notamment avec les maîtres Gonzalo Cienfuegos et Klaudio Vidal, puis à l’Atelier Wilfredo Lam où il explore les techniques expérimentales de gravure.

  Montre ses travaux depuis 1995 et effectue de nombreux séjours à l’étranger qui l’amèneront de l’île de Robinson Crusoé jusqu’en Lithuanie, en passant par le Mexique,  l’île de Pâques, Cuba, l’Angleterre, l’Autriche, la Bulgarie, l’Allemagne, la Grèce,  la Hongrie, etc...

 

 

 

 

 

 

 

Les œuvres de ce jeune artiste au parcours déjà bien rempli figurent dans quelques collections publiques dont le Musée d’Art Moderne de Castro, le Centre d’Art Contemporain de Cordoba, la Bibliothèque Nationale de France à Paris, l’Institut Cervantes à Lyon, la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu à Lyon, etc., et le Grand Prix AZART 2009 du magazine éponyme vient de lui être décerné.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         L'œuvre de Francisco Sepulveda est une œuvre essentiellement ouverte, car aucun de ses tableaux n'est jamais enfermé en lui-même. Ses figures singulières et puissantes, sont traversées par une onde magnétique qui manifeste son charme étrange dans chaque toile.  L’univers très personnel de Francisco est exubérant, mystérieux, magique et poétique à la fois.   

 

 

 

 

 

 

 

 

          L’œuvre polymorphe de Sepulveda foisonne de références à ses racines sud-américaines et aux différentes cultures auxquelles il a été exposé lors de ses nombreux et incessants voyages.  

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dès le plan de réalisation technique, le graphisme rappelle  un système nerveux qui infuserait son énergie à la toile entière. C'est sur le mode du système nerveux, avec son réseau incisif de veines chercheuses, que la puissance graphique trace la carte des intensités de la toile. Elle coordonne plusieurs passages, plusieurs circuits de sens possibles, et aménage de nombreuses trajectoires nous permettant de surfer sur l'espace réel et imaginaire de l'œuvre. Malgré la puissance chromatique de l’œuvre la peinture allie énergie et équilibre.

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  Sepulveda libère les êtres et les choses. Ses scènes composées d’images composites semblent traversées par des forces physiques et spirituelles en provenance de différents mondes : animal, végétal, minéral, aquatique, historique,. Culturel, réel, chimérique. Le spectateur oscille entre le vécu et l’imaginaire. Les corps sont des humanoïdes hybrides, les figures à l’apparence humaine font penser à des masques resurgis des civilisations primitives lointaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Il y a là une extravagance lucide qui n'exclut pas les facéties espiègles d'un réel humour, ni une certaine distance critique, ni les ombres portées d'un certain sens du tragique. Il s'agit de capter, pour les faire transiter, des idées. des émotions, des sentiments, des sensations, et toutes ces choses qui font et sont une vie humaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

    Les critiques qui se sont penchés sur son travail parlent de galaxie Sepulveda, de télescopage de cultures, de palette de dieux. et voient dans l’œuvre de cet arrière petit-fils d’indienne une référence à l’histoire de son peuple où d’étranges personnages, tantôt masqués, parfois surmontés de têtes animales semblent se livrer à un rituel où l’artiste conjure le ciel et l’enfer, tout en adaptant ces légendes ancestrales à ce quotidien qui l’enchante. Ils le comparent à un ogre joyeux au rire tonitruant, à l’énergie épicurienne, une espèce de géant vorace et insatiable… qui dévore des univers, s’en repaît, pour mieux n’en modeler qu’un : le sien, unique, éclatant, fascinant. Ils saluent tous l’ingénuité et la spontanéité  de ce cheval fou s’ébrouant dans le magasin des vieilles convenances et qui n’énonce pas explicitement les significations qu’il brasse mais nous donne à manier des jeux d’hypothèses comme autant de jeux de clés susceptibles de les ouvrir. Une œuvre pleine d’humour et de dérision.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Le site de Francisco SEPULVEDA :  http://www.francisco-sepulveda.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les galeries de Francisco SEPULVEDA :

 

 

     - La galerie sans nom (Bruxelles) : http://www.lagaleriesansnom.com/pdetail/francisco-sepulveda/

 

     - La galerie du Soleil sur la Place (Lyon  69 ) : http://www.lesoleilsurlaplace.com/artistes/francisco_sepulveda-50.php

 

     - La galerie Chantal  Mélanson   (Annecy  74 ) : http://www.art-chantal-melanson.com/   Francisco SEPULVEDA

 

 

 

 

FRANCISCO SEPULVEDA :

 


 

      Né en 1977 à Santiago du Chili, Francisco Sepulveda vit et travaille en France.
  Etudie le dessin, la peinture et la gravure à l’Ecole des Beaux-Arts de Santiago, notamment avec les maîtres Gonzalo Cienfuegos et Klaudio Vidal, puis à l’Atelier Wilfredo Lam où il explore les techniques expérimentales de gravure.

 

  Montre ses travaux depuis 1995 et effectue de nombreux séjours à l’étranger qui l’amèneront de l’île de Robinson Crusoé jusqu’en Lithuanie, en passant par le Mexique,  l’île de Pâques, Cuba, l’Angleterre, l’Autriche, la Bulgarie, l’Allemagne, la Grèce,  la Hongrie, etc...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les œuvres de ce jeune artiste au parcours déjà bien rempli figurent dans quelques collections publiques dont le Musée d’Art Moderne de Castro, le Centre d’Art Contemporain de Cordoba, la Bibliothèque Nationale de France à Paris, l’Institut Cervantes à Lyon, la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu à Lyon, etc., et le Grand Prix AZART 2009 du magazine éponyme vient de lui être décerné.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         L'œuvre de Francisco Sepulveda est une œuvre essentiellement ouverte, car aucun de ses tableaux n'est jamais enfermé en lui-même. Ses figures singulières et puissantes, sont traversées par une onde magnétique qui manifeste son charme étrange dans chaque toile.  L’univers très personnel de Francisco est exubérant, mystérieux, magique et poétique à la fois.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

          L’œuvre polymorphe de Sepulveda foisonne de références à ses racines sud-américaines et aux différentes cultures auxquelles il a été exposé lors de ses nombreux et incessants voyages.  

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dès le plan de réalisation technique, le graphisme rappelle  un système nerveux qui infuserait son énergie à la toile entière. C'est sur le mode du système nerveux, avec son réseau incisif de veines chercheuses, que la puissance graphique trace la carte des intensités de la toile. Elle coordonne plusieurs passages, plusieurs circuits de sens possibles, et aménage de nombreuses trajectoires nous permettant de surfer sur l'espace réel et imaginaire de l'œuvre. Malgré la puissance chromatique de l’œuvre la peinture allie énergie et équilibre.

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Sepulveda libère les êtres et les choses. Ses scènes composées d’images composites semblent traversées par des forces physiques et spirituelles en provenance de différents mondes : animal, végétal, minéral, aquatique, historique,. Culturel, réel, chimérique. Le spectateur oscille entre le vécu et l’imaginaire. Les corps sont des humanoïdes hybrides, les figures à l’apparence humaine font penser à des masques resurgis des civilisations primitives lointaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Il y a là une extravagance lucide qui n'exclut pas les facéties espiègles d'un réel humour, ni une certaine distance critique, ni les ombres portées d'un certain sens du tragique. Il s'agit de capter, pour les faire transiter, des idées. des émotions, des sentiments, des sensations, et toutes ces choses qui font et sont une vie humaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Les critiques qui se sont penchés sur son travail parlent de galaxie Sepulveda, de télescopage de cultures, de palette de dieux. et voient dans l’œuvre de cet arrière petit-fils d’indienne une référence à l’histoire de son peuple où d’étranges personnages, tantôt masqués, parfois surmontés de têtes animales semblent se livrer à un rituel où l’artiste conjure le ciel et l’enfer, tout en adaptant ces légendes ancestrales à ce quotidien qui l’enchante. Ils le comparent à un ogre joyeux au rire tonitruant, à l’énergie épicurienne, une espèce de géant vorace et insatiable… qui dévore des univers, s’en repaît, pour mieux n’en modeler qu’un : le sien, unique, éclatant, fascinant. Ils saluent tous l’ingénuité et la spontanéité  de ce cheval fou s’ébrouant dans le magasin des vieilles convenances et qui n’énonce pas explicitement les significations qu’il brasse mais nous donne à manier des jeux d’hypothèses comme autant de jeux de clés susceptibles de les ouvrir. Une œuvre pleine d’humour et de dérision.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Le site de Francisco SEPULVEDA :  http://www.francisco-sepulveda.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les galeries de Francisco SEPULVEDA :

 

 

 

 

 

     - La galerie sans nom (Bruxelles) : http://www.lagaleriesansnom.com/pdetail/francisco-sepulveda/

 

 

 

     - La galerie du Soleil sur la Place (Lyon  69 ) : http://www.lesoleilsurlaplace.com/artistes/francisco_sepulveda-50.php

 

 

 

     - La galerie Chantal  Mélanson   (Annecy  74 ) : http://www.art-chantal-melanson.com/

 



20/09/2012
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